Yann MARQUANT
J’ai pris le pinceau au début de l’année 2004, mes premiers essais sont assez concluants pour persévérer et me souvenir des cours de dessin pris à l’école des beaux-arts de Lille dans les années 80.
La souplesse de la technique me ravit. Un pinceau, quelques godets, de l’eau et parfois une serviette de plage, le volant d’une voiture, un peu de neige suffisent à faire «quelque chose ».
Je voyage léger
J’aime les effets surprenants de l’eau et la puissance que l’on peut obtenir, elle peut être comparée au pastel à l’huile que l’on me conseille parfois d’aborder.
Fidèle, Fidèle il faut rester Fidèle … Encore un peu.